Grande chélidoine
Chelidonium majus L., 1753
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 304 observations
-
92
communes -
39
observateurs
9
organismes -
Première observation
1900 -
Dernière observation
2025
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-
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 173 Observations
Part d'aide à la prospection : 56.91 %
Fiche organisme
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 119 Observations
Part d'aide à la prospection : 39.14 %
Fiche organisme
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Conservatoire Botanique National de Brest (CBNB)
Participation à 119 Observations
Part d'aide à la prospection : 39.14 %
Fiche organisme
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Conservatoire botanique national du Bassin parisien (CBNBP)
Participation à 48 Observations
Part d'aide à la prospection : 15.79 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 46 Observations
Part d'aide à la prospection : 15.13 %
Fiche organisme
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Institut floristique franco-belge (IFFB)
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.97 %
Fiche organisme
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Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.66 %
Fiche organisme
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Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Herbacée vivace vert-glauque de 15 à 80 cm. La Chélidoine, ou Herbe-aux-verrues est une plante de la famille des Papavéracées, comme beaucoup des espèces de cette famille, elle produit un latex. Pour la Chélidoine ce latex est de couleur jaune, et est visible lorsqu’on coupe les feuilles ou les tiges. Elle est d’ailleurs reconnue pour ses vertus médicinales, notamment pour soigner les verrues. Les plantes se présentent en touffe et les tiges sont velues. Les feuilles sont segmentées en 5-7 portions ovales, incisées ou lobées, et glauques sur la face inférieure. Les fleurs présentent 4 sépales jaune-vert et de 4 fins pétales jaune d’or, séparés dès la base. La capsule, est subcylindrique et bosselée, et présente 2 valves, se séparant à maturité du bas vers le haut. Elle n’est pas cloisonnée, et ne présente donc qu’une seule loge. Ses fleurs sont hermaphrodites et pollinisées par les insectes. La reproduction peut également se faire par autofécondation. Les graines de la capsule sont dispersées par les fourmis.
Détermination :
Simple. Pas de confusion possible.
Biologie-ethologie :
Observable toute l’année. Floraison de mars à juillet.
Biogéographique et écologie :
Espèce rudérale des décombres et pieds de murs, on peut également rencontrer la Chélidoine en bord de cours d’eau. Cette espèce est présente dans presque toutes les régions du monde (subcosmopolite).
D’après :
Tison, J.-M., Jauzein, P. & Michaud, H. 2014. Flore de la France méditerranéenne continentale. Naturalia Publications, 2078 pp.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
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Répartition actuelle dans le monde
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