Rougequeue noir
Phoenicurus ochruros (S. G. Gmelin, 1774)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 335 observations
-
82
communes -
72
observateurs
14
organismes -
Première observation
1970 -
Dernière observation
2025
Appenai-sous-Bellême - Arcisses - Argenvilliers - Authon-du-Perche - Bazoches-sur-Hoëne - Beaulieu - Beaumont-les-Autels - Belforêt-en-Perche - Bellavilliers - Bellême - Bellou-le-Trichard - Bizou - Bretoncelles - Ceton - Champrond-en-Perchet - Chapelle-Guillaume - Chapelle-Royale - Comblot - Combres - Corbon - Coudray-au-Perche - Coulimer - Courgeon - Courgeoût - Cour-Maugis sur Huisne - Happonvilliers - Igé - Jaudrais - La Chapelle-Montligeon - La Chapelle-Souëf - La Ferté-Vidame - La Framboisière - La Madeleine-Bouvet - La Mesnière - La Ventrouze - Le Mage - Le Pas-Saint-l'Homer - Le Pin-la-Garenne - Les Étilleux - L'Hôme-Chamondot - Loisail - Longny les Villages - Luigny - Manou - Mauves-sur-Huisne - Montireau - Montlandon - Mortagne-au-Perche - Nogent-le-Rotrou - Nonvilliers-Grandhoux - Perche en Nocé - Pervenchères - Pouvrai - Rémalard en Perche - Réveillon - Sablons sur Huisne - Saint-Aquilin-de-Corbion - Saint-Bomer - Saint-Cyr-la-Rosière - Saint-Denis-sur-Huisne - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Saint-Éliph - Saint-Fulgent-des-Ormes - Saint-Germain-de-Martigny - Saint-Hilaire-le-Châtel - Saint-Hilaire-sur-Erre - Saintigny - Saint-Jouin-de-Blavou - Saint-Langis-lès-Mortagne - Saint-Mard-de-Réno - Saint-Martin-des-Pézerits - Saint-Martin-du-Vieux-Bellême - Saint-Ouen-de-Sécherouvre - Saint-Victor-de-Buthon - Senonches - Soligny-la-Trappe - Tourouvre au Perche - Trizay-Coutretot-Saint-Serge - Val-au-Perche - Vaunoise - Vaupillon - Villiers-sous-Mortagne
-
-
PNR du Perche
Participation à 105 Observations
Part d'aide à la prospection : 31.34 %
Fiche organisme
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Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 68 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.30 %
Fiche organisme
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 64 Observations
Part d'aide à la prospection : 19.10 %
Fiche organisme
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DREAL Centre-Val de Loire
Participation à 29 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.66 %
Fiche organisme
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Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 26 Observations
Part d'aide à la prospection : 7.76 %
Fiche organisme
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Société d'études ornithologiques de France (SEOF)
Participation à 16 Observations
Part d'aide à la prospection : 4.78 %
Fiche organisme
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Eure-et-Loir Nature
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.99 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.99 %
Fiche organisme
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Eole Champagne Conlinoise
Participation à 8 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.39 %
Fiche organisme
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Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.49 %
Fiche organisme
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France Nature Environnement Centre-Val de Loir
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 1.19 %
Fiche organisme
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.90 %
Fiche organisme
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Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 0.30 %
Fiche organisme
Informations espèce
Ce petit passereau était à l’origine inféodé aux habitats naturels de rochers, falaises et éboulis, en particulier en montagne. Il a su s’adapter à des habitats artificiels tels que les carrières et les constructions humaines, d’où à l’heure actuelle une vaste distribution en plaine également y compris dans les grands centres urbains.
Le Rougequeue noir se nourrit de toutes sortes d’insectes et d’invertébrés. A l’automne en particulier, il recherche aussi les fruits et les baies.
L’espèce est migratrice partielle, envoyant à l’automne des contingents dans la péninsule ibérique voire jusqu’en Afrique du Nord, alors même que certains individus hivernent chez nous, rejoints par des migrateurs nordiques. La migration d’automne est sensible en octobre notamment, celle de printemps a lieu en mars-avril, parfois dès la fin de février. Le chant du ♂ est un gazouillis précipité suivi d’un étrange bruit de papier froissé et de quelques notes finales.
La saison de nidification commence en avril, parfois dès la fin de mars, et s’achève en juillet. Le nid est édifié dans un trou de rocher ou dans un mur, les cavités à large ouverture étant préférées. Les matériaux utilisés sont les herbes sèches, feuilles et autres matières végétales, la coupe interne étant garnie de plumes ou de poils. La ponte comprend 4 à 6 œufs couvés par la femelle. Les oisillons éclosent au bout de deux semaines (13 à 17 jours), et sont activement nourris par les deux parents. Ils prennent leur envol au bout de deux semaines (12 à 19 jours). Il peut y avoir deux (voire trois) nichées successives.
Source : fiche descriptive, INPN
H3 : Falaises continentales, pavements rocheux et affleurements rocheux
J1 : Bâtiments des villes et des villages
J2 : Constructions à faible densité
Répartition actuelle en France métropolitaine
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Répartition actuelle dans le monde
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