Lepture havane
Pseudovadonia livida (Fabricius, 1777)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 33 observations
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13
communes -
10
observateurs
5
organismes -
Première observation
1970 -
Dernière observation
2024
Bazoches-sur-Hoëne - Belforêt-en-Perche - Bretoncelles - Combres - Cour-Maugis sur Huisne - Longny les Villages - Mauves-sur-Huisne - Moutiers-au-Perche - Perche en Nocé - Pervenchères - Sablons sur Huisne - Senonches - Verrières
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 22 Observations
Part d'aide à la prospection : 66.67 %
Fiche organisme
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GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 21.21 %
Fiche organisme
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 3.03 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 3.03 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit longicorne aux élytres de jaune à rougeâtre, avec une plage un peu plus sombre autour de l'écusson ; appendices noirs à brun sombre. Joues allongées ; pronotum globuleux ; pubescence élytrale régulière ; apex élytral arrondi. Antennes relativement courtes et épaisses.
Détermination : Moyennement difficile, possible sur photo (simple pour connaisseur).
Espèces proches :
Peut être confondue avec d'autre petits Leptures noir à élytres jaune-rougeâtre Stictoleptura fulva et Anastrangalia sanguinolenta (plus grands et à apex élytral sombre) ; Sticoleptura hybrida et S. maculicornis (aux antennes annelées de jaune); Stenurella spp. (plus allongés) ; Alosterna tabacicolor (plus étroit, élytres jaunes) ; Acmaeops spp. (apex élytral tronqué).
Période d’observation : Adultes, de mai à août, pic en juin.
Biologie-éthologie :
Cycle biologique de deux ans. La larve se développe dans le sol, où elle consommerait des racines mortes de plantes ligneuses ou herbacées, combinées à du mycélium. Certains auteurs indiquent un développement dans le bois en décomposition de feuillus mais ça ne semble pas être le mode de développement principal, car l'espèce n'a pratiquement jamais été obtenue d'émergence de bois en décomposition. L'adulte est diurne et floricole. Il s'observe surtout sur les fleurs de la strate herbacée ; sur de nombreuses espèces de fleurs, particulièrement sur les achillées.
Biogéographie et écologie :
Large répartition paléarctique, du Royaume-Uni à la Sibérie. Espèce commune, rudérale et généraliste en termes d'habitat. L'espèce s'observe dans les bocages, prairies, garrigues, lisières et allées forestières, landes et dunes littorales, parcs et certains jardins.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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