Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
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- 8 observations
-
5
communes -
9
observateurs
4
organismes -
Première observation
1900 -
Dernière observation
2021
Denux Olivier
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Laurent Poncet
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Le Marquer Alain
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Lutrand C.
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Michard Alain
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Michard Lysbeth
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Obs. Non Précisé
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Poncet Laurent
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Radigue François
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
-
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
-
Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 12.50 %
Fiche organisme
Informations espèce
Taille : 20-36 mm.
Diagnose :
Dessus noir à légers reflets bleus, parfois verts, marges intensément bleues acier, parfois vertes. Pattes, antennes et dessous noirs. Les élytres présentent une sculpture assez confuse, avec des chainons linéaires peu distincts. Corps allongé, pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, le premier segment thoracique est étroit et les élytres très larges, plus de deux fois plus large que ce dernier. La tête est longue et porte de solides mandibules. Le ♂ se reconnaît à ses tarses antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la ♀ lors de l’accouplement. Les élytres sont soudés, l’espèce est inapte au vol.
Facilité d’identification : Assez facile
Confusion possibles :
Ne peut être confondue qu’avec les sous-espèces sombres de C. solieri Dejean, 1826 ou avec certaines formes larges de C. problematicus Herbst, 1786.
Périodes d’observation :
Toute l’année. Active principalement de la fin du printemps jusqu’à l’automne. Hiverne à l’état adulte.
Biologie/éthologie :
Espèce forestière. Les larves comme les adultes se nourrissent essentiellement de mollusques terrestres (escargots, limaces), mais peuvent avoir un régime plus opportuniste (larves, vers…). Les adultes ont des mandibules dotées d’une incisive coupante et dévorent les proies en les mastiquant. Les larves ont dans les mandibules un canal permettant d’injecter des enzymes qui digèrent la proie de l’intérieur. La proie ainsi liquéfiée sera ensuite aspirée par la larve à l’aide du même canal mandibulaire.
Biogéographie : Majeure partie de la France, en plaine comme en montagne, mais de Corse.
D'après :
Coulon J., Pupier R., Queinnec E., Ollivier E. & Richoux P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
Source : fiche descriptive, INPN
Diagnose :
Dessus noir à légers reflets bleus, parfois verts, marges intensément bleues acier, parfois vertes. Pattes, antennes et dessous noirs. Les élytres présentent une sculpture assez confuse, avec des chainons linéaires peu distincts. Corps allongé, pattes longues, aptes à la course. Les élytres et le premier segment thoracique ne forment pas une courbe continue, le premier segment thoracique est étroit et les élytres très larges, plus de deux fois plus large que ce dernier. La tête est longue et porte de solides mandibules. Le ♂ se reconnaît à ses tarses antérieurs dilatés, adaptés à la préhension de la ♀ lors de l’accouplement. Les élytres sont soudés, l’espèce est inapte au vol.
Facilité d’identification : Assez facile
Confusion possibles :
Ne peut être confondue qu’avec les sous-espèces sombres de C. solieri Dejean, 1826 ou avec certaines formes larges de C. problematicus Herbst, 1786.
Périodes d’observation :
Toute l’année. Active principalement de la fin du printemps jusqu’à l’automne. Hiverne à l’état adulte.
Biologie/éthologie :
Espèce forestière. Les larves comme les adultes se nourrissent essentiellement de mollusques terrestres (escargots, limaces), mais peuvent avoir un régime plus opportuniste (larves, vers…). Les adultes ont des mandibules dotées d’une incisive coupante et dévorent les proies en les mastiquant. Les larves ont dans les mandibules un canal permettant d’injecter des enzymes qui digèrent la proie de l’intérieur. La proie ainsi liquéfiée sera ensuite aspirée par la larve à l’aide du même canal mandibulaire.
Biogéographie : Majeure partie de la France, en plaine comme en montagne, mais de Corse.
D'après :
Coulon J., Pupier R., Queinnec E., Ollivier E. & Richoux P. 2011. Coléoptères Carabidae de France: Compléments aux 2 volumes de René Jeannel. Mise à jour, corrections et répertoire. Faune de France, 94: 1-352 pp., 70 pl.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Carabus bohemicus Haury, 1881
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Carabus bosniensis Born, 1918
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Carabus carnicus Depoli, 1926
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Carabus chionobatus Born, 1918
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Carabus cyaneus Fabricius, 1777
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Carabus liburnicus Haury, 1881
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Carabus macedonicus Jurecek, 1928
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Carabus montenegrinus Kraatz, 1878
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Carabus petax Kolbe, 1917
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Carabus siegwarti Born, 1914
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Carabus starensis Born, 1918
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Carabus subrhodopensis Blumenthal, 1976
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Carabus weiratheri Breuning, 1934