Phasme gaulois
Clonopsis gallica (Charpentier, 1825)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 25 observations
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12
communes -
6
observateurs
3
organismes -
Première observation
1978 -
Dernière observation
2023
Appenai-sous-Bellême - Belforêt-en-Perche - Bellême - Bellou-le-Trichard - Bretoncelles - Cour-Maugis sur Huisne - Igé - La Chapelle-Souëf - Le Mage - Saint-Cyr-la-Rosière - Saint-Germain-de-la-Coudre - Saint-Martin-du-Vieux-Bellême
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 21 Observations
Part d'aide à la prospection : 84.00 %
Fiche organisme
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Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.00 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Insecte de taille moyenne, aptère, de coloration verte ou brune. Les individus verts sont lisses alors que les individus bruns ont une légère rugosité. Son corps est de forme cylindrique et allongée. Les antennes sont courtes, avec 12 à 13 articles. Les œufs sont globuleux, de couleur brune.
Détermination :
L’espèce est identifiable à partir d’une photo. Il faut avoir un œil expérimenté pour faire la différence avec les autres espèces de phasmes que l’on rencontre en France métropolitaine.
Espèces proches :
Confusion possible avec Bacillus rossius rossius et Pijnackeria hispanica. Les deux autres espèces de phasmes observables dans le Sud de la France. Cependant, Bacillus rossius rossius est plus grande.
Périodes d’observation : Les adultes sont visibles de mai à octobre.
Biologie – éthologie :
Il est visible dans la strate arbustive des milieux assez chauds : principalement sur les ronces et rosiers sauvages, les genêts, les aubépines et Prunus spinosa, le Prunellier. En France métropolitaine, on rencontre uniquement des femelles qui se reproduisent par parthénogénèse. Les femelles pondent de petits œufs globuleux, qu’elles expulsent aléatoirement sur le sol. Les œufs sont en diapause pendant deux périodes hivernales successives avant d’éclore.
Biogéographie et écologie :
Espèce méditerranéenne, mais sa répartition en France s’étire jusqu’à la moitié ouest de la France (côte Atlantique, Bretagne, Pays de la Loire, Centre, Ile-de-France) ; entre 0 et 1200 m d’altitude (surtout au-dessous de 700 m).
Bibliographie :
Bellanger, Y., Jourdan T., Lelong Ph. Association ASPER. (25/01/2017) http://www.asper.org/
Brock, P. D., Büscher, T. & Baker, E. Phasmida Species File Online. Version 5.0/5.0. (24/01/2017) http://phasmida.speciesfile.org/
Chinery, M. 1986. Insectes de France et d’Europe occidentale. Arthaud. 320 p.
Leraut, P. 2003. Le guide entomologique. Les Guides Naturalistes. Delachaux et Nieslé. 527 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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