Elasmucha sociale
Elasmucha grisea (Linnaeus, 1758)
Classe :
Insecta
Ordre :
Hemiptera
Famille :
Acanthosomatidae
Sous-Famille :
Acanthosomatinae
Genre :
Elasmucha
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
Chargement...
- 8 observations
-
7
communes -
6
observateurs
4
organismes -
Première observation
1968 -
Dernière observation
2022
Damoiseau Sébastien
-
Labonne
-
Maria Justamond
-
Noemiehevin
-
Potiron Jean-luc
-
User 53450
-
UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
-
Le Monde des Insectes (insectes.org)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
-
Eure-et-Loir Nature
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
-
Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 12.50 %
Fiche organisme
Informations espèce
Taille : 7 – 9 mm
Diagnose :
Petite punaise jaune verdâtre à brune avec les pattes jaunes à vertes. Les bords de son abdomen (connexivum) sont bicolores alternativement noir et jaune. Une tache noire est souvent présente sur toute la moitié antérieure du scutellum. Les angles huméraux du pronotum plus larges que l’abdomen ne forment pas de pointes acérées. Les antennes sont claires (sauf le dernier article) et la face ventrale n’est pas ponctuée de noir. Les épines aux angles antérieurs du pronotum sont absentes ou d’une taille inférieure au diamètre de l’œil.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce est proche d’Elasmucha fieberi. On la distingue par la couleur des antennes, entièrement noires chez cette espèce qui possède des petites épines derrière les yeux, aussi grandes que le diamètre de l’œil. D’autre part, la face ventrale d’E. grisea n’est pas ponctuée de noir.
Période d’observation : Avril à novembre avec deux pics en juin et septembre.
Biologie-éthologie :
Espèce arboricole vivant principalement sur le bouleau, l'aulne, le noisetier, et d'autres arbres dont le charme, le chêne pédonculé, le hêtre, le peuplier, des saules.
Comme les autres Elasmucha, la ♀ protège ses œufs contre les prédateurs et les parasites en restant immobile en permanence sur sa ponte comme si elle la couvait. Elle protège ensuite ses larves de la même façon au moins jusqu’au 3e stade.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne commune dans son biotope, présente jusqu'à 64° de latitude nord. À l'est, on la rencontre jusqu'à l'océan Pacifique en Sibérie. Elle est plus rare dans l’aire méditerranéenne. On la rencontre dans les lisières forestières humides, les bords de rivières, clairières, landes claires et dans les jardins.
Source : fiche descriptive, INPN
Diagnose :
Petite punaise jaune verdâtre à brune avec les pattes jaunes à vertes. Les bords de son abdomen (connexivum) sont bicolores alternativement noir et jaune. Une tache noire est souvent présente sur toute la moitié antérieure du scutellum. Les angles huméraux du pronotum plus larges que l’abdomen ne forment pas de pointes acérées. Les antennes sont claires (sauf le dernier article) et la face ventrale n’est pas ponctuée de noir. Les épines aux angles antérieurs du pronotum sont absentes ou d’une taille inférieure au diamètre de l’œil.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce est proche d’Elasmucha fieberi. On la distingue par la couleur des antennes, entièrement noires chez cette espèce qui possède des petites épines derrière les yeux, aussi grandes que le diamètre de l’œil. D’autre part, la face ventrale d’E. grisea n’est pas ponctuée de noir.
Période d’observation : Avril à novembre avec deux pics en juin et septembre.
Biologie-éthologie :
Espèce arboricole vivant principalement sur le bouleau, l'aulne, le noisetier, et d'autres arbres dont le charme, le chêne pédonculé, le hêtre, le peuplier, des saules.
Comme les autres Elasmucha, la ♀ protège ses œufs contre les prédateurs et les parasites en restant immobile en permanence sur sa ponte comme si elle la couvait. Elle protège ensuite ses larves de la même façon au moins jusqu’au 3e stade.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne commune dans son biotope, présente jusqu'à 64° de latitude nord. À l'est, on la rencontre jusqu'à l'océan Pacifique en Sibérie. Elle est plus rare dans l’aire méditerranéenne. On la rencontre dans les lisières forestières humides, les bords de rivières, clairières, landes claires et dans les jardins.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Cimex griseus Linnaeus, 1758
|
Elasmostethus interstinctus auct. non (Linnaeus, 1758)
|
Elasmucha grisea grisea (Linnaeus, 1758)
|
Pentatoma griseum (Linnaeus, 1758)