Dyroderes umbraculatus (Fabricius, 1775)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 15 observations
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10
communes -
7
observateurs
9
organismes -
Première observation
1993 -
Dernière observation
2025
Commune nouvelle d'Arrou - Gandelain - Le Cercueil - Les Ventes-de-Bourse - Mantilly - Moulins-la-Marche - Saint-Brice-sous-Rânes - Saint-Georges-le-Gaultier - Ségrie - Trun
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 26.67 %
Fiche organisme
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Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 26.67 %
Fiche organisme
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GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
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Office national des forêts (ONF)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 6.67 %
Fiche organisme
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Le Monde des Insectes (insectes.org)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 6.67 %
Fiche organisme
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Habitants-bénévoles
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 6.67 %
Fiche organisme
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Eure-et-Loir Nature
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 6.67 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise arrondie avec les bords de la tête et du pronotum aplatis en lamelles, et non rebordés. Corps aplati dorso‐ventralement. Extrémité du scutellum et moitié antérieure des bords latéraux du pronotum blancs, contrastant fortement avec la couleur de fond marron. Bord antérieur du pronotum avec une petite dent près de chaque œil.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Pas de difficulté particulière pour l’identification de cette espèce qui a une morphologie caractéristique avec ses expansions convexes du pronotum en forme d'oreilles.
Période d’observation :
Mars à octobre, avec un pic en mai-juin.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit uniquement sur quelques espèces de gaillets, dont le gaillet gratteron, le caille-lait blanc en milieu semi-ombragé, et le caille-lait jaune en milieu ouvert. Elle se tient généralement sur les tiges et les feuilles proches des fruits de ses plantes-hôtes.
Biogéographie et écologie :
Espèce ouest-paléarctique, rencontrée jusqu'en Azerbaïdjan à l'est. Elle est absente de Scandinavie et signalée seulement depuis 2013 de Grande-Bretagne, mais elle est présente en Allemagne et en Ukraine, et ne semble donc pas dépasser 55° de latitude nord. Espèce thermophile avec une préférence pour les milieux humides, parfois légèrement ombragés : forêts en bordure de cours d'eau, lisières forestières et bords des haies, friches envahies de végétation, bois clairs. On la rencontre aussi dans des habitats plus secs comme les prairies méditerranéennes, au pied de buissons protégeant les gaillets dans leur développement. Commune dans les biotopes favorables, elle est plus fréquente dans les habitats semi-ombragés que dans les milieux ouverts.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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