Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 37 observations
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16
communes -
20
observateurs
10
organismes -
Première observation
1967 -
Dernière observation
2022
Arcisses - Beaumont-les-Autels - Bellavilliers - Bellou-le-Trichard - Champrond-en-Gâtine - Chapelle-Guillaume - Chapelle-Royale - La Bazoche-Gouet - Le Mage - Longny les Villages - Nogent-le-Rotrou - Perche en Nocé - Réveillon - Thiron-Gardais - Tourouvre au Perche - Vaupillon
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Eure-et-Loir Nature
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 27.03 %
Fiche organisme
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Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 24.32 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.22 %
Fiche organisme
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Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 13.51 %
Fiche organisme
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Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.81 %
Fiche organisme
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Eole Champagne Conlinoise
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.11 %
Fiche organisme
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DREAL Centre-Val de Loire
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 5.41 %
Fiche organisme
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France Nature Environnement Centre-Val de Loir
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 2.70 %
Fiche organisme
Informations espèce
Longueur totale : 13 cm. Poids : 13 g en moyenne.
Diagnose :
Le ♂ en plumage nuptial se reconnaît facilement à sa tête et son dessus noir, alors que le dessous, le front et une barre alaire sont blancs. Le plumage de la ♀ est beaucoup moins contrasté, avec un dessus brun et un dessous blanchâtre, et une barre alaire beige moins nette.
Détermination :
Simple. Facile sur photo.
Espèces proches :
Le Gobemouche à collier (Ficedula albicollis) nicheur dans l’Est de la France présente un plumage similaire, mais le ♂ s’en distingue facilement par son large collier blanc. En automne, la distinction des deux espèces s’avère toutefois délicate.
Période d’observation :
Avril à juin puis août-septembre et parfois octobre pour le passage post-nuptial. En juillet les oiseaux sont très discrets à cause de la mue.
Biologie-éthologie :
Le Gobemouche noir est un petit passereau très actif, agitant souvent les ailes et la queue d’une façon saccadée. Il chasse les insectes en vol à la manière du Gobemouche gris, sans toutefois retourner systématiquement au même perchoir, et avec une tendance plus marquée à se poser sur le sol. Il niche dans des cavités d’arbres.
Biogéographie et écologie :
L’aire de répartition du Gobemouche noir s’étend sur l’ensemble de l’Europe, la limite Est étant la Sibérie centrale. Les pays abritant les populations nicheuses les plus importantes sont les Pays Scandinaves, la Russie, les Pays Baltes et l’Allemagne. En France, l’espèce se montre relativement sélective sur son habitat de nidification. C’est avant tout un oiseau forestier, montrant une préférence nette pour les peuplements âgés de feuillus des plaines et collines. La chênaie sur sol bien drainé semble constituer son habitat optimal, mais il occupe également les hêtraies et les châtaigneraies.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.