Eysarcoris aeneus (Scopoli, 1763)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 13 observations
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8
communes -
9
observateurs
8
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2020
Averton - Canapville - La Ferté Macé - La Lande-de-Goult - Lonlay-l'Abbaye - Mantilly - Rives d'Andaine - Saint-Patrice-du-Désert
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 46.15 %
Fiche organisme
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Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 38.46 %
Fiche organisme
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GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 23.08 %
Fiche organisme
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Bureaux d'études & consultants
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 15.38 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
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Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN MP)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
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Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
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Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise grisâtre arrondie qui a le clypéus (nez) libre et non enclos par les jugas (joues), et le bord antérieur du pronotum avec 2 taches noir-violacé métallisé. Elle a les angles huméraux du pronotum pointus et saillants et dépassant la largeur de l’abdomen, les bords latéraux antérieurs du pronotum concaves, et les angles de la base du scutellum avec 2 grandes taches blanches (calus) ovales.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Cette espèce ressemble à Eysarcoris ventralis mais s’en distingue facilement par ses angles huméraux pointus et saillants, la présence de callosités blanches de grande taille à la base du scutellum, et les bords antérieurs du pronotum concaves.
Période d’observation :
Mai à octobre, avec un pic principal en juin et un autre en aout-septembre.
Biologie-éthologie :
Elle a été observée sur plusieurs genres de labiées : brunelles, épiaires, galéopsis, sarriettes. Elle a été aussi signalée sur d'autres plantes comme la pulicaire dysentérique ou le millepertuis. Les individus se cachent parfois à l’intérieur de la corolle des plantes. De plus, elle fait partie de la douzaine d’espèces causant le plus de problèmes à la culture du riz au Japon.
Biogéographie et écologie :
Espèce Paléarctique, elle atteint le sud de la Grande-Bretagne et le Danemark jusqu'à 57° de latitude nord, le Japon vers l’est, l’Afrique du Nord et l’Inde vers le sud. Elle est absente de la région méditerranéenne et évite les rivages marins. Elle habite les milieux frais et humides, et même semi-ombragés où elle est assez commune : landes et lisières forestières, marais, tourbières, prairies, forêts en bordures de rivières, abords des étangs.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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