Leiopus femoratus Fairmaire, 1859
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 10 observations
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6
communes -
6
observateurs
4
organismes -
Première observation
2000 -
Dernière observation
2024
Manou - Moutiers-au-Perche - Perche en Nocé - Saint-Cyr-la-Rosière - Tourouvre au Perche - Verrières
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Office national des forêts (ONF)
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 60.00 %
Fiche organisme
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 30.00 %
Fiche organisme
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Université de Rennes
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
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GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit longicorne de coloration brun noirâtre, recouvert d’une pilosité dense, couchée bicolore gris clair et brun foncé. Pronotum à épines latérales réduites situées en arrière de son milieu. Élytres étroits, parallèles à coloration grise irrégulière, parsemés de taches et de points bruns ou noirâtres.
Détermination :
délicate.
Espèces proches :
Longtemps confondu avec Leiopus nebulosus (Linnaeus, 1758), confusion possible avec les 3 autres espèces du genre. Il s’en distingue par ses épines latérales du pronotum petites et courtes et par le troisième article antennaire plus allongé
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de mai à août.
Biologie-éthologie :
La larve très polyphage attaquent les branches et branchettes mortes de diverses essences feuillues : noyer, peuplier, gui, lierre, noisetier, charme, aulne, saule, bouleau, érable, hêtre, tilleul, orme, châtaignier, chêne, arbres fruitiers. Également cité du sapin.
Biogéographie et écologie :
Espèce européenne qui atteint l’Asie. En France, surtout présent dans la moitié nord du pays, dans les forêts feuillues, parcs, jardins ou vergers. En France, l’indigénat de l’espèce pose question.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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