Capricorne nébuleux
Leiopus nebulosus (Linnaeus, 1758)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 25 observations
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19
communes -
15
observateurs
8
organismes -
Première observation
1904 -
Dernière observation
2020
Aubry-le-Panthou - Belforêt-en-Perche - Canapville - Couptrain - Domfront en Poiraie - Évron - Les Monts d'Andaine - Manou - Mortain-Bocage - Pré-en-Pail-Saint-Samson - Saint-Aubin-de-Bonneval - Saint-Clément-Rancoudray - Saint-Georges-de-Rouelley - Saint-Nicolas-des-Bois - Senonches - Tourouvre au Perche - Villeneuve-en-Perseigne - Villepail - Voutré
-
GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 56.00 %
Fiche organisme
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Office national des forêts (ONF)
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.00 %
Fiche organisme
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PNR et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.00 %
Fiche organisme
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Peter Stallegger (Consultant Environnement)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.00 %
Fiche organisme
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UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.00 %
Fiche organisme
-
Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.00 %
Fiche organisme
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Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit longicorne de coloration générale noirâtre, recouvert d’une pilosité grisâtre et roussâtre. Pronotum à épines latérales bien développées, dirigées vers l’arrière. Élytres subovalaires, convexes, très fortement ponctués à la base, à coloration grisâtre irrégulière, parsemés de taches et de points bruns ou noirâtres.
Détermination :
très délicate.
Espèces proches :
Confusion possible avec les autres espèces du genre, tout particulièrement L. linnei dont elle se distingue par le bord postérieur du dernier segment abdominal de la ♀ frangé d’une très fine et courte pubescence, et 8ème tergite du ♂ recouvert d’une courte et très fine pubescence couchée, garnissant tout le bord postérieur, sauf une aire médiane plus ou moins dénudée et brillante.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de mai à août.
Biologie-éthologie :
La larve, très polyphage, attaque les branches et branchettes mortes de diverses essences feuillues : noyer, peuplier, noisetier, charme, aulne, saule, bouleau, érable, hêtre, tilleul, orme, châtaignier, chêne, arbres fruitiers. Cité occasionnellement des conifères en décomposition (épicéa, sapin). Le cycle évolutif est d’un à deux ans.
Biogéographie et écologie :
Espèce à large répartition ouest-paléarctique. Son habitat est constitué de nombreux milieux boisés.
D’après :
:
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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