Où cette espèce a-t-elle été observée ?

Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.

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  • 8
    observations

  • 6
    communes

  • 7
    observateurs
    6
    organismes

  • Première observation
    1990

  • Dernière observation
    2025
Anonymisé - Beaudoin Cédric - Delecourt Catherine - Dutertre-andré - Dutertre Andre - Fhingue - Obs. Non Précisé - Roux Amélie
  • Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 37.50 %

    Fiche organisme

  • UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
    Participation à 3 Observations
    Part d'aide à la prospection : 37.50 %

    Fiche organisme

  • Système mondial d’information sur la biodiversité (GBIF)
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 25.00 %

    Fiche organisme

  • Eure-et-Loir Nature
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 12.50 %

    Fiche organisme

  • PNR du Perche
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 12.50 %

    Fiche organisme

  • DREAL Centre-Val de Loire
    Participation à 1 Observation
    Part d'aide à la prospection : 12.50 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Taille/poids : 15-28 mm.

Diagnose : Stature allongée et couleur noir brillant. Antennes plus longues que le corps chez le ♂ et la femelle. Pronotum fortement ridé; élytres rugueux; apex élytral arrondi; fémurs postérieurs atteignant l'apex des élytres.

Détermination : simple, une photo d'ensemble suffit.

Espèces proches :
Les trois autres Cerambyx français sont plus grands et n'ont pas la coloration noire, homogène, de C. scopolii. Les autres gros longicornes sombres se distinguent par la stature (la majorité est plus large : Morimus, Lamia...), les antennes (Arhopalus spp. ont les antennes courtes), ou la couleur noire (par exemple Aromia moschata est verte, les Monochamus ont des mouchetures claires).

Période d’observation :
Espèce printanière, pic net au mois de mai, présent dès avril; encore présent en juillet, notamment en montagne.

Biologie-éthologie :
Espèce se développant dans le bois mort ou encore vivant, de troncs et grosses branches de nombreux arbres feuillus (chênes etc.). Elle semble particulièrement fréquente sur les arbres de la familles des Rosacées : cerisier, pommier, poirier etc. Le cycle de développement dure 2 ans; la larve se nymphose à l'automne et l'adulte peut s'observer en loge dans le bois à partir d'octobre (en fendant du bois de feu par exemple). L'adulte est diurne et s'observe souvent sur les fleurs blanches d'arbustes (sureau, troène etc.); il vient dans les pièges à appâts fermentés (bière, vin, fruits...) ce qui suggère qu'il se nourrit également de sève fermentée des plaies des arbres.

Biogéographie et écologie :
Espèce des forêts feuillues de plaine et moyenne montagne d'Europe tempérée. Très largement répandue, atteignant l'Asie mineure, l'Afrique du Nord et le Caucase. Commune dans les forêts, les lisières ensoleillées, le bocage et certains vergers et parcs.

Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment

Répartition actuelle en France métropolitaine

© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Répartition actuelle dans le monde

Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.

Pas de synonymes pour ce taxon

Observations mensuelles