Rhagie grondeuse
Rhagium inquisitor (Linnaeus, 1758)
Classe :
Insecta
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Cerambycidae
Sous-Famille :
Lepturinae
Tribu :
Rhagiini
Genre :
Rhagium
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
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- 9 observations
-
5
communes -
5
observateurs
5
organismes -
Première observation
1997 -
Dernière observation
2022
Damoiseau Sébastien
-
Denux Olivier
-
Lnef
-
Poncet Laurent
-
Sebastien Etienne
-
Office national des forêts (ONF)
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 55.56 %
Fiche organisme
-
UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 22.22 %
Fiche organisme
-
Université de Rennes
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 11.11 %
Fiche organisme
-
GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 11.11 %
Fiche organisme
Informations espèce
Taille : 9-21mm
Longicorne à antennes courtes et au thorax muni d'une forte épine latérale. Tête étroite ; corps couvert d'une pubescence gris argenté ; élytres avec trois bandes transversales dénudées, sombres et peu nettes.
Facilité d'identification : simple
Confusions possibles : peut éventuellement être confondu avec les trois autres espèces françaises de Rhagium mais celles-ci ont des motifs de coloration plus marqués et la tête renflée dans sa partie postérieure.
Adultes se rencontrant presque toujours sur les arbres hôtes, à savoir le plus souvent des troncs de résineux (Pins, Sapin, Épicea, Cèdre, Mélèze) fraîchement morts. Saproxylique, avec un cycle d'un an, la larve se construit une loge sous l'écorce dans laquelle elle se nymphose. Les adultes passent l’hiver dans cette loge, sortent dès le début du printemps et peuvent être observés jusqu'en juillet, avec un pic d'observation en mai.
Espèce a très large répartition en Eurasie et en Amérique du Nord. Autochtone en France, sa répartition suit celle de ses plantes-hôtes résineuses et l'espèce s'est étendue en plaine depuis longtemps, favorisée par les plantations. L'atlas des longicornes du Massif armoricain (Gouverneur & Guérard, 2011) montre une forte expansion depuis 1980. L'espèce est commune partout et peut se rencontrer en milieu urbain.
Références : Berger P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse. ARE, 664 p.
Gouverneur X. & Guérard P. 2011. Les longicornes armoricains – Atlas des Coléoptères Cerambycidae des départements du Massif armoricain. Invertébrés armoricains, les Cahiers du GRETIA, 7, 224 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Longicorne à antennes courtes et au thorax muni d'une forte épine latérale. Tête étroite ; corps couvert d'une pubescence gris argenté ; élytres avec trois bandes transversales dénudées, sombres et peu nettes.
Facilité d'identification : simple
Confusions possibles : peut éventuellement être confondu avec les trois autres espèces françaises de Rhagium mais celles-ci ont des motifs de coloration plus marqués et la tête renflée dans sa partie postérieure.
Adultes se rencontrant presque toujours sur les arbres hôtes, à savoir le plus souvent des troncs de résineux (Pins, Sapin, Épicea, Cèdre, Mélèze) fraîchement morts. Saproxylique, avec un cycle d'un an, la larve se construit une loge sous l'écorce dans laquelle elle se nymphose. Les adultes passent l’hiver dans cette loge, sortent dès le début du printemps et peuvent être observés jusqu'en juillet, avec un pic d'observation en mai.
Espèce a très large répartition en Eurasie et en Amérique du Nord. Autochtone en France, sa répartition suit celle de ses plantes-hôtes résineuses et l'espèce s'est étendue en plaine depuis longtemps, favorisée par les plantations. L'atlas des longicornes du Massif armoricain (Gouverneur & Guérard, 2011) montre une forte expansion depuis 1980. L'espèce est commune partout et peut se rencontrer en milieu urbain.
Références : Berger P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse. ARE, 664 p.
Gouverneur X. & Guérard P. 2011. Les longicornes armoricains – Atlas des Coléoptères Cerambycidae des départements du Massif armoricain. Invertébrés armoricains, les Cahiers du GRETIA, 7, 224 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Non renseigné pour le moment
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau mondial : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Cerambyx inquisitor Linnaeus, 1758
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