Lamie tisserand
Lamia textor (Linnaeus, 1758)
Où cette espèce a-t-elle été observée ?
Attention : cette espèce peut être présente où il n’y a pas de maille, mais à ce jour elle n’y a pas encore été observée.
- 12 observations
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10
communes -
13
observateurs
5
organismes -
Première observation
1904 -
Dernière observation
2024
Briouze - Champsecret - La Lande-de-Goult - L'Orée-d'Écouves - Manou - Mortain-Bocage - Moutiers-au-Perche - Pacé - Saint-Nicolas-des-Bois - Voutré
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GRoupe d'ETude des Invertébrés Armoricains (GRETIA)
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Association Faune & Flore de l'Orne (AFFO)
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
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Conservatoire d'espaces naturels du Centre-Val de Loire (CEN CVL)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.67 %
Fiche organisme
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Bureaux d'études & consultants
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 8.33 %
Fiche organisme
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Conseil départemental de l'Orne (bureau ENS)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 8.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Capricorne au corps noir mat d’aspect arrondi et compact, à pattes robustes, couvert d’un léger duvet gris ou roussâtre et de quelques macules jaunâtres plus étendue et inégalement réparties. Les antennes ne dépassent pas la longueur du corps.
Détermination :
délicate.
Espèces proches :
Morimus asper (Linnaeus, 1758), dont il se distingue par des antennes toujours moins longues que le corps chez les deux sexes et par la forme plus parallèle des élytres.
Période d’observation :
Les adultes apparaissent de mai à juillet.
Biologie-éthologie :
La larve se développe dans les souches et le bois encore vivant des arbres dépérissant de saules, peupliers, bouleaux et aulnes. Le cycle biologique est de 2 à 3 ans. Cette espèce est ailée mais vole très rarement, on la trouve généralement marchant au sol dans la journée.
Biogéographie et écologie :
Espèce largement répandue sur toute la zone paléarctique. En France, elle se rencontre sur tout le territoire sauf en Corse. Son habitat est constitué de ripisylves, de zones humides ou marécageuses. Elle paraît en régression, tout comme les zones humides.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
© INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Répartition actuelle dans le monde
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